Plusieurs fois dans l’année, c’est la soupe à la grimace dans les bureaux de tabac : certains paquets de cigarettes coûtent plus cher au premier jour de certains mois.
Ce sera à nouveau le cas à partir du 1ᵉʳ juin 2025, comme l’ont récemment fait savoir les douanes françaises.
Marlboro, Philip Morris, Chesterfield, Gauloises… Certaines déclinaisons de marques bien connues des fumeurs prennent jusqu’à 80 centimes.
Parmi les quelque 5 000 références de tabac (cigarettes, tabac à rouler et cigares) en vente au détail en France, quelques unes augmentent, beaucoup ne changent pas, et une marque fait dans l’originalité… en affichant des prix en baisse.
Jusqu’à un euro moins cher
Fortuna ne fait rien comme les autres au 1ᵉʳ juin puisque la marque espagnole sera la seule à afficher des prix inférieurs à ceux d’aujourd’hui.
Voici les huit formats de Fortuna donc les prix baissent au 1er juin 2025 :
- Fortuna Bleu, en 20 unités 11,40 euros (contre 11,90 euros aujourd’hui)
- Fortuna Classic Rouge, en 20 unités : 11,40 euros (contre 12,10 euros aujourd’hui)
- Fortuna Classic Rouge 100s, en 20 unités : 11,40 euros (contre 12,10 euros aujourd’hui)
- Fortuna Classic Rouge, en 30 unités : 17,10 euros (contre 18,10 euros aujourd’hui)
- Fortuna Cool, en 20 unités : 11,40 euros (contre 11,90 euros aujourd’hui)
- Fortuna Rouge 100s, en 20 unités : 11,40 euros (contre 11,90 euros aujourd’hui)
- Fortuna Rouge, en 20 unités : 11,40 euros (contre 11,90 euros aujourd’hui)
- Fortuna Rouge XXL, en 30 unités : 17,10 euros (contre 17,80 euros aujourd’hui)
Deux déclinaisons Fortuna, le pot à tuber S en 30 g et la blague de tabac Fortuna Original en 30 g, voient leurs prix inchangés.
Comment le prix des cigarettes peut baisser ?
Contactée par actu.fr pour un article publié en février dernier, la Confédération des buralistes explique que la baisse des prix de certains paquets de cigarettes est liée aux « homologations dont bénéficient les industriels du tabac à l’année ».
Cette homologation leur permet de modifier les prix selon leurs stratégies commerciales.
En fait, les fabricants fixent leurs prix librement comme l’indiquent les douanes françaises. Ensuite, ces prix doivent être « homologués par arrêté interministériel » mais de fait, c’est aux industriels de définir leurs prix, même si ces derniers doivent prendre en compte les différentes taxes.
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