L’Euro de foot féminin débute ce mercredi 2 juillet avec de grosses révolutions.
Rien de mieux que la pratique pour tester les évolutions technologiques. Cet Euro féminin s’annonce comme un laboratoire géant pour l’arbitrage avec quatre révolutions attendues. Pour la première fois de l’histoire, les arbitres de l’Euro, dont la Française Stéphanie Frappart bien présente, seront aidés par la technologie.
Pour la première fois, les matchs se dérouleront avec un ballon connecté. Ce dernier va envoyer des données précises aux arbitres assistant·e·s vidéo en temps réel. En combinant la position des joueuses avec l’intelligence artificielle, cette innovation favorisera des décisions de match plus rapides. La technologie Connected Ball aidera également les arbitres assistant·e·s vidéo à identifier chaque contact avec le ballon, ce qui réduira le temps passé à juger les fautes de main et les incidents dans la surface de réparation.
Le hors-jeu sera semi-automatisé (SAOT) va également apparaître. La SAOT permettra aux équipes VAR de déterminer les situations de hors-jeu rapidement et avec plus de précision grâce aux dix caméras spécialisées installées dans les stades, qui suivront 29 points du corps de chaque joueuse. Introduit dans l’UEFA Champions League en 2022, ce système intègre la technologie de ballon connecté afin d’identifier immédiatement le point de contact du ballon pour l’analyse des situations de hors-jeu comme l’explique l’UEFA.
À cela, vous ajouterez la goal-line qui sera présente sur les stades pour détecter si la balle a franchi entièrement la ligne de but ou encore l’utilisation classique de la VAR.
